Les optimistes de Gunhild Westhagen Magnor

Les optimistes-Norvège
Allez, on avale un Bisounours et on fonce en Norvège !
Oui, oui, vous avez bien lu ! Aujourd’hui on voit la vie en rose et on assume à fond nos yeux en forme d’étoiles (voire en forme de cœur, beurk) et on va regarder ce film qui fait franchement… du bien !
Elles sont une vingtaine, toute membres d’une même équipe de volley-ball Norvégienne. Jusque là, tout va bien, rien d’anormal. C’est quand on regarde les rides et les cartes d’identité qu’on se rend compte qu’on a affaire à un truc incroyable : ces joueuses ont entre 66 et 98 ans !
Fringantes sur le terrain comme dans la vie, elles se lancent un challenge de fou : rencontrer une autre équipe et jouer dans les règles de l’art.
Bon, c’est là que ça se corse un tantinet. Les règles, elles les connaissent mais, pour elles depuis des années, pas de prises de tête avec les centimètres à respecter, les poignets à mettre comme-ci ou comme-ça.
Pas le choix, il va falloir apprendre.
Coachées comme jamais, gonflées à bloc, elles veulent montrer qu’elles ne se laisseront pas faire par les hommes en face d’elles et qu’elles ne laisseront pas de terrain à la mort qui les guettent.
Un film époustouflant, touchant et plein de bons sentiments.
Oui, on assume. On entre là dedans avec un peu d’appréhension et on ressort plein d’un espoir incontrôlable. On a envie de vivre, de jouer au volley, au foot ou au cricket et de vieillir aussi belles que Goro, Lilemor, Irma ou Birgit, ces femmes qui touchent en plein cœur.

 

Les optimistes, Gunhild Westhagen Magnor

 

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